★ Les Habitants

Sam 30 Avr - 16:25

Les Habitants

Ignoring is sometimes the best solution or not.

Les habitants de Portland. Ce sont des gens ordinaires avec des problèmes ordinaires et des moments de joies ordinaires. Ils poursuivent leur vie sans encombre. Certains vont au travails, les adolescents vont au lycée ou à l'université. Certains sont au chomage, d'autre sans abris. Qu'importe, ils sont ordinaires et ils sont les meilleurs pour le prouver. Mais parmi ces habitants ordinaires se cachent certains malfaisant qui profite de collaborer avec La Division, ou d'autres qui tentent de tout découvrir pour leur propre vengeance et salut.

We are what we are

TERESA PALMER → libre
JAMES FRANCO → libre
LEONARDO DI CAPRIO → libre

Dim 1 Mai - 9:31

Maxine Joyce Fitzgrad

feat. teresa palmer

And i wish i was a comet, just to be remembered

perfectionniste ▪ charmante ▪ têtue ▪ discrète ▪ observatrice

Bonjour, je ne suis pas très doué(e) pour me présenter, mais je vais tout de même essayer. Je m'appelle Maxine Joyce Fitzgrad et j'ai bientôt 25 ans. Je suis originaire de Milwaukee, situé au Wisconsin et je suis né(e) le 22 juillet 1986. Je suis arrivée à Portland, il y'a maintenant un an, et je m'y plais bien. Je me suis toujours considéré comme attiré par les hommes, je suis donc hétérosexuelle; actuellement, je suis célibataire mais je sais m'amuser la nuit. Aujourd'hui, je suis journaliste, et autant dire que je traque la vérité comme une prédatrice et je m'y plais assez bien.

I'm just a nitty gritty dirty little freaks

« Tu sais chérie, Papa nous a menti pour notre bien. » Maxine aurait voulu croire sa mère, mais cela relevait de l'impossible. Son père avait eu une double vie, il n'avait jamais été représentant dans une grande boîte comme il le prétendait. Il ne faisait qu'arnaquer des gens pour continuer à ramener de l'argent et faire croire qu'il avait un métier. Puis un jour il avait arnaquer la mauvaise personne, et des jeunes ont voulu venger la victime en mettant le feu à sa voiture. Ils n'avaient pas prévu qu'il serait dedans. Et c'est comme ça, que tout a été découvert. Il n'est pas mort, mais a été gravement brûlé. « Je m'en fiche, plus tard je ne laisserai plus personne mentir. » Sept ans et une détermination ferme à exterminer le mensonge. C'est ainsi que dix ans plus tard, elle entamait des études dans le journalisme avec une conviction féroce. Elle faisait partie des meilleures de sa promotion grâce à cette rage, à ce dégoût du mensonge. Malheureusement pour elle, la filière et les temps sont durs, si bien qu'elle se retrouva à travailler pour un torchon minable, contant la vie des chiens écrasés. Puis un jour, en appelant sa meilleure amie, elle eut vent de la Divison et quelque chose l'anima. Elle devait en savoir plus. Aujourd'hui, elle vit à Portland, dans l'espoir de trouver l'élément qui cloche dans cette soit-disant merveilleuse institution gouvernementale, et elle est prête à tout pour en apprendre plus.

AUREL E. McJOHNSON

Depuis le coup de téléphone à son amie, et le premier article de l'Agent X., Maxine avait entreprit d'enquêter là-dessus, persuadée que les gens qui trempaient dans cette affaire ne pouvaient pas avoir les mains propres. En traquant les informations, elle tomba sur un article, concernant une femme morte, tuée, soit-disant une terroriste qui s'était réfugiée dans la petite ville après s'être mariée. Attiré par cette étrangeté, elle fit la connaissance du prétendu mari, Aurel, et sympathisa rapidement avec lui. Bel homme, quoi que sombre, il semblait tout aussi acharné qu'elle, si ce n'est plus, vis-à-vis de cette étrange sous-division gouvernementale... Depuis elle le contacte régulièrement, pour le plaisir ou partager des informations.

E. DJAËL NAUGHTON

Tout aurait très mal pu se passer. Vraiment très mal. Djaël a manqué de renverser Maxine alors qu'elle traversait la route. Il roulait trop vite, elle n'était pas particulièrement attentive ; mais au lieu de lui offrir une bonne commotion cérébrale, il parvint à s'arrêter à quelques centimètres d'elle. Entre arrogance, agacement et adrénaline, il proposa de la ramener chez elle, ce qui éviterait un accident. Elle accepta à contre-coeur. Depuis ils ont échangé quelques mails. Elle tentant d'obtenir plus d'informations sur les dessous de la ville, lui s'amusant à détourner toutes les questions. Son côté fuyant amuse Maxine, et elle ne lâchera pas l'affaire. Lui y voit une bonne distraction.

Dim 1 Mai - 9:34

Nathan Elyott Borovert

feat. james franco

And i wish i was a comet, just to be remembered

caractériel ▪ taciturne ▪ intelligent ▪ calme ▪ généreux

Bonjour, je ne suis pas très doué pour me présenter, mais je vais tout de même essayer. Je m’appelle Nathan Elyott Borovert et j'ai 30 ans. Je suis originaire de Normandie, situé en France et je suis né(e) le 14 Octobre 1981. Je suis arrivée à Portland, il y'a maintenant dix ans, et je m'y plais bien. Je me suis toujours considéré comme attiré par les femmes, je suis donc hétérosexuel; actuellement, je suis célibataire. Aujourd'hui, je suis politicien et je m'y plais assez bien.

I'm just a nitty gritty dirty little freaks

Nathan est né en France, de sa vie privé peu de modne en savent quelque chose. Il est né en Normandie dans une famille plutôt aisé, son père était patron d'une entreprise de textile, sa mère était institutrice. Il a toujours dit qu'il serait président. Avec le temps il s’est juste mit à la politique. Sortit major de sa promotion à Science po' , il a alors été engagé comme secrétaire d'un ministre, grâce aux connaissances de son père. Très rapidement et ayant un bon talent d'orateur il a fait son chemin. Propulser à des postes avec de plus en plus de responsabilité, il finit par quitter la France et son pouvoir politique pour de bon, il travaillait depuis deux ans en Amérique dans les affaires étrangère de l'hexagone. Il a finit par rejoindre la politique américaine, même si il reste un bon intermédiaire entre les affaires politique des deux pays. D'un autre côté, il est un allié depuis son arrivé aux USA de la Division, son poste étant très utile sur les affaires de politique de l'état.
Dans sa vie privé, il en a peu, ni femme, ni enfants, quelques copines de passages, rien de plus d'un an. Rien de sérieux, trop caractériel, il a tendance à trop attendre des femmes, et surtout son travail lui prend trop de temps. Néanmoins il a toujours trouvé le temps de prendre un café ou d'invité à dîner "pour le travail" Daisy June, même si leur dîners se finissent souvent sur des prises de tête...

DAISY-JUNE BONES

Le politicien froid, renfermé et l'agent de FBI bornée, ambitieuse et franche. Autant dire que le jour où ils se sont rencontré sur une affaire, ça a fait des étincelles. Au oint où les collègues de Daisy-June pensaient que l'affaire en pendrait un sale coup par la collaboration explosive des deux personnes. Sauf que finalement entre les pics acide, les regards fougueux ou froids, ils ont mis à profit néanmoins leur sens du travail pour faire avancer le tout. Depuis ? Jamais aucun des deux n'avouera que lorsqu'il a besoin de l'autre, il y fait appel avec presque joie. Ça serait juste impensable de dire aussi qu'ils s'attirent comme deux aimants, mais qu'ils sont trop fière pour dire que l'un et l'autre peuvent former une vraiment bonne équipe.

Dim 1 Mai - 9:41

Aurel Eleann McJohnson

feat. leonardo dicaprio

And i wish i was a comet, just to be remembered

impulsif ▪ calculateur ▪ sombre ▪ distant ▪ cynique

Bonjour, je ne suis pas très doué pour me présenter, mais je vais tout de même essayer. Je m'appelle Aurel Eleann McJohnson et j'ai 26 ans. Je suis originaire de Chicago, situé dans l'Illinois et je suis né(e) le 02 décembre 1984. Je suis arrivée à Portland, il y'a maintenant six ans, juste après mon mariage, et je m'y plais bien. Je me suis toujours considéré comme attiré par les femmes, je suis donc hétérosexuel; actuellement, je suis veuf, donc peu intéressé. Aujourd'hui, je suis juste propriétaire d'une galerie d'art et je m'y plais assez bien.

I'm just a nitty gritty dirty little freaks

Le monde de Oui-Oui n'existe pas. Pas besoin d'un dessin pour qu'Aurel le comprenne. Il n'a jamais su qui étaient ses parents et si durant son enfance il l'a bien vécu, la chose a été plus dur durant l'adolescence. Lui qui aurait eu besoin de limite avait libre accès à tout et n'importe quoi, et aussi doux que soient ses parents adoptifs, il leur en voulait de ne pas le limiter plus. Sa limite, il l'a rencontré à dix-neuf ans et ne l'a plus lâché. Elle s'appelait Lise, et il était persuadé qu'elle était la meilleure chose qui ne lui soit jamais arrivé. Ils ont fréquenté le même amphithéâtre, les mêmes cours d'histoire de l'art, puis le même café, les mêmes plaisanteries, et le même lit. Oui-oui pouvait aller se faire voir, car elle était tout pour lui, et lui offrait tout le bonheur qu'il avait toujours attendu. Ils se marièrent et elle voulut absolument aller habiter à Portland pour être plus près de sa famille. Il accepta, sans se douter du pire. Elle partageait sa passion pour l'art. Mais les poneys roses n'existent pas, et tout était beaucoup trop beau pour durer. Une belle matinée d'été il trouva la galerie d'art envahie de fédéraux, et de curieux. A défaut de pouvoir entrer et en savoir plus, il fractura la mâchoire d'un policier qui refusait de le laisser passer. Plus tard, il apprit par les journaux que le gouvernement déclarait avoir arrêté et abattue un membre important du groupe terroriste le plus dangereux que les Etats-Unis n'aient jamais connu. Lise McJohnson. La rage et le désespoir le poussèrent dans ses retranchements et durant des jours il ne daigna pas sortir de chez lui, puis, en fouillant les affaires de sa femme, il ne trouva rien la liant à aucun groupe terroriste, ce qui le laissa penser que tout ceci n'était qu'un tissu de mensonge de la part du gouvernement. Sa femme n'avait jamais été terroriste. Il commença alors à mener sa propre enquête, persuadé qu'il s'agissait là d'une bavure, que sa femme avait été tué sans raison, et que le gouvernement tentait de cacher la chose en prétendant qu'elle nuisait à la sécurité. Il tomba sur une chose : la Division ; et dès lors, il fut convaincu qu'Ils l'avaient tué, et ce, sans raison. Depuis il les traque sans relâche, cherchant à coincer un membre de la Division pour lui faire subir le même sort que ce qu'ils ont fait à sa femme. Sa nouvelle raison de vivre : la mort d'un coupable.

MAXINE FITZGRAD

Il avait prévu de tuer le premier homme - ou même la première femme- qu'il trouverait et qui ferait parti de la Division. Il envisageait même un massacre, au prix de sa vie, jusqu'à ce qu'il fasse la rencontre de Maxine, cette jeune femme blonde qui fouinait étrangement dans son quartier, frappant aux portes à la recherche de quelques informations. Autour d'un café, il apprit qu'elle enquêtait sur la Division, persuadée de tenir une affaire énorme. Aurel y vit alors une occasion d'en apprendre plus sur ceux qui qualifiait comme les assassins de sa femme...